| | | Aria Aoki  Mer 10 Avr - 11:13 On avait attaqué mon district, une chose que je ne pouvais pas laisser passer, de ce que j’ai vu c’était un petit malin qui connaissait bien tout par cœur et correctement même nos propres caméras comment cela pouvait-il être possible ?
J’avais décidé de mener aussi ma petite barque mais surtout nous étions sur les dents il ne fallait pas que ce meurtrier revienne, il aura affaire à nous cela est sûr, pas de quartier des flics auront plus que le corps, nous ne faisons pas de prisonnier.
J’avais besoin pour cela d’une plus longue visée, encore plus précise à la pointe de la technique et le seul qui pouvait me fournir cela était Fergus, je n’aimais pas aller dans les clans adverses mais je n’avais pas le choix.
Depuis le temps que je me fournissais chez lui, nous commencions bien à nous connaître, il savait que j’étais très pointilleuse sur mes demandes, je savais qu’il allait me trouver ce que je demandais, me méfiant toujours de tout le monde, la confiance était rare, plutôt une solitaire depuis que j’ai vu un de mes amants se faire tuer sous mes yeux.
Avec Fergus nous avons installé un code, dans la périphérie, au nord, un arbre bien précis avec cette drôle de for tordu, j’y mettais un scotch avec une forme de croix, il y avait une veuille grande abandonnée, à quelques mètres, là où je me rendais pour l’attendre, je savais que ça pouvait être quelques heures à plusieurs jours mais la patience faisait partie de moi, j’avais de quoi en l’attendant.
Cela faisait un moment que je ne lui avais rien demandé mais là je n’avais pas le choix il me fallait le mieux, pour surveiller le district, même peut être plusieurs pour que nous puissions quadriller le secteur, il ne fallait pas qu’il revienne.
Assise dans le fond, dans le coin aussi noir de la grande que j’attendais Fergus, il allait venir mais quand, là était la question, ma patience était mise à l’épreuve, il n’y pouvait rien mais mon district était en danger durant ce temps.
@'FERGUS CIPHER' | | | Fergus Cipher Mar 11 Juin - 20:40 Viseur de pointeavec Aria Aoki À contrecœur, c'était le terme.
Fergus, c'état le cancer par excellence. Le gars allergique à la sociabilisation et qui ne répondait quasiment qu'avec les poings ou des injures. Charmant, n'est-ce pas ? Le genre de personne tout à fait adorable. Avouez, vous aimez mon ironie.
Pour en revenir à ce que je disais bien plus haut, ouais, le brun avait dû accepter en s'y sentant un peu obligé. Pas trop l'choix, vous voyez. Oh, s'il aurait pu refuser, il l'aurait fait volontiers, vous pouvez me croire ! Mais l'occasion ne s'était pas présentée, pour son plus grand malheur ; et puis, de toute façon, il allait se faire du fric. Sûrement une des raisons pour laquelle il n'avait pu dénier l'offre. Tout ça pour dire qu'il était là, les mains coincées dans les poches de son jean troué – quelle classe, quelle originalité –, se noyant dans son t-shirt gris et sa veste noire ; avec cette fille. Aria. Tout aussi clean que lui ; sauf qu'il avait pas trop de taches de sang sur les mains, comparé à elle. Oh, et elle faisait partie d'un autre camp. Travailler avec l'ennemi, haha ! Une des excuses sur pourquoi il voulait pas de cette proposition, à la base. Mais l'appel de l'argent était bien trop fort . . . L'pognon, c'est la vie, et c'était pas l'Américain qui dirait le contraire, qui cracherait sur des beaux billets. Un peu avare sur les bords. Enfin, vous m'direz . . . Quel putain de péché capital Fergus n'avait jamais commis ?
Bref ! Le garçon était là, la Thaïlandaise devant lui, soupirant. Soupirant pour plein de choses. Comme le simple fait de s'être déplacé lui-même, sa moto entreposée avec soin dans un coin, pas trop loin de lui ; ou bien ce foutu code, par exemple. Nan mais, quelle idée ! Pensait-elle qu'il allait gaiement s'amuser à cette chasse au trésor débile pour la retrouver ? Ils auraient pas pu faire comme tout le monde, agir normalement ? Enfin, peut-être que l'Outlaws pensait ça à cause de sa nature mauvaise et associable jusqu'à la moelle ; allez savoir. Ce qu'il fallait retenir, c'était qu'il avait cédé. La faute à l'oseille.
Il avait fait le plus rapidement possible pour la rejoindre, par ailleurs ; le jour-même, donc. Plus vite c'était fait, et plus vite il serait en paix ! C'était presque une devise pour lui. Puis après quelques crapahutages, il avait trouvé Aria, au détour d'un coin, dans la vieille grange délaissée de tous.
— Bon. Commença-t-il, ne voulant pas tourner autour du pot plus longtemps qu'il n'en fallait. J'ai un p'tit bijou qui t'attend sagement, prépare les billets.
Tout en disant cela, il se dirigea vers sa bécane, d'un pas nonchalant, pas loin du tout, le siège arrière occupé par un large carton de forme rectangulaire. Le genre de truc qui était pas du tout passé inaperçu quand il se l'était trimbalé, en effet. Je pense surprendre personne en spoilant qu'il renfermait l'arme commandée par la tueuse à gage, non ? Si ? . . . Bah fallait pas lire.
| | | Aria Aoki Dim 30 Juin - 3:01 Cet endroit toujours le même au fin fond de ce lieu juste une croix indiquer que je suis la, j'attends dans le noir mes yeux fixes vers l'entrée.
Une moto, fermant les yeux se bruit de moteur c'est lui, il est passé par la assez rapidement plutôt bien, je savais que peu importe où il était cette croix se voix et lui seul en connaît la raison mais il ne fait pas dans le silence, bref c'est Fergus.
- tu as été rapide, c'est cool.
M'avancant vers lui.
-Je veux ce qu'il y a de meilleur et tu le sais peu importe le prix, il me faudrait un viseur de pointe et un très bon silencieux.
J'espère qu'il avait de quoi, je sais qu'il fait dans le meilleur pour cela que je ne vais voir personne d'autre que lui.
- Tu me présente tes jouets ?
L'air sérieux les affaires commencent.
@'FERGUS CIPHER' | | | Fergus Cipher Ven 12 Juil - 8:36 Viseur de pointeavec Aria Aoki Une main gantée posée sur le carton, prêt à le descendre au sol pour lui faciliter la tâche de l'ouverture – et ne pas risquer d’abîmer sa moto ; nan mais, il roulait pas encore sur l'or, il n'avait pas envie de faire réparer un truc juste à cause d'une commande à la con –, il sentit la jeune fille s’avancer vers lui, quittant sa zone d'ombre, tout en lui adressant la parole. Il se tourna vers elle, nonchalant, quelques secondes, le temps de lui répondre d'une voix lasse.
— J'ai envie d'dire que dans c'milieu, être rapide, c'est un atout pas négligeable.
Il n'avait pas réellement tort en soi. Et même s'il venait de dire une connerie aussi grosse que le soleil, il le nierait en bloc. Parce que c'est un gros con qui assume pas ses erreurs, et encore moins devant une nana. La honte, quoi ! Surtout pour un Outlaws dans son genre. Enfin, revenons à nos moutons, si vous le voulez bien. De toute lanière, je vous laisse pas le choix.
— Ouais, je l'sais. Il soupira quelques instants. J'ai un peu douillé pour les dégoter mais, je pense que ça fera l'affaire. J'échoue pas dans mes missions, et c'est pas aujourd'hui qu'ça va arriver.
Peut-être était-il un peu trop confiant, allez savoir, mais honnêtement ? Il s'en fichait éperdument. Dans tous les cas, les dires de la Thaïlandaise furent comme un cri de départ. Plaçant alors le large carton contre la terre, posant un genou, il saisit un cutter de sa poche – on n'a pas envie de savoir quels genres de choses à bien pu toucher cette fine lame de rasoir – avant de couper le gros scotch brun servant à bien fermer le tout. Au moins, c'était sûr ! Fergus balança les restes collants sur le côté, ne se souciant de rien, alors qu'il lança un dernier regard vers Aria, tout en soulevant le haut de la boîte. Du papier bulle. Bon, y'avait bien mieux, comme vue et première impression, mais au moins s’était-il fait chier pour pas qu'une connerie se passe pendant le transport. Ça aurait été profondément con. Sûrement aurait-il ragé et serait devenu rouge comme le Diable.
Le brun retirant alors les quelques couches, des formes sombres se distinguèrent avec netteté. Aucun doute possible sur leur nature. Enfin, quand on s'y connaissait en la matière, bien entendu. Son regard alla chercher encore une fois la jeune fille aux cheveux noirs.
— T'veux terminer toi-même l'déballage de tes cadeaux, tiens ?
Après tout, c'était à elle que tout ce bazar allait bientôt appartenir – en échange de quelques billets verts qui n'avaient rien de propres, mais dont l'homme ne se souciait guère tant qu'ils étaient véritables –, alors autant qu'elle juge par elle-même dès le départ, n'est-ce pas ?
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