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L’homme est un pont, non une fin - ft Kira
Kira I. Koshar
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Kira I. Koshar
∞ MESSAGES : 25
Kira I. Koshar
Jeu 6 Juin - 17:54
Kira I. Koshar ft. Raven - Teen Titans.
IDENTITÉ : Tu te prénomme Kira, du russe Kira, et pas du japonais Kira. Ton deuxième prénom est celui de ta mère, Ivanna. Et Koshar, le nom de ton père.
GE : 32 ans.
DATE DE NAISSANCE : 5 Mars 1987, le jour où la russie se rappelle la mort de Staline, toi tu souffles tes bougies.
ORIGINES & NATIONALITÉ : T’es née en Russie, à Korsakov sur l’île de Sakhaline, t’es russo-américaine depuis peu.
CLASSE SOCIALE : T’as pas à te plaindre, ton job paye bien et tu en profites pour faire un milliers de trucs !
OCCUPATION : Psychiatre (DESC addictologie). Chacun sa manière d’aider les gens, toi tu le fais par le suivi de ceux qui se sont déjà perdu en chemin.
ORIENTATION : Ton chemin a croisé autant de femmes que d’hommes sans jamais rester très longtemps à leurs côtés.
SITUATION : T’es seule et tu te vois mal partager ton appartement avec quelqu’un. Même un animal serait de trop et ne pourrait pas te suivre.
TES DÉLITS : T’as eu quelques amendes quand tu loupais l’heure de fin de ton stationnement ou pour excès de vitesse. T’as également eu une plainte pour non-assistance à personne en danger quand un de tes patients s’est fait exploser la cervelle, mais la famille a fini par revenir à la raison.
TON QUARTIER : Tu vis dans le D2, c’est le plus proche de ton boulot et de tes activités, même si le quartier est pas le plus sympa du monde.
TON GROUPE : Sweety.
CARACTÈRE :À première vue, les gens t’aiment bien. T’es quelqu’un qui profite de la vie comme personne. On peut le dire sans exagération, mais tu croques la pomme la plus juteuse qui existe et t’en profites à 100%. Tu fais toujours un millier de choses à la fois, t’as plein d’activités et de sorties prévues. S’il y a un endroit où tu passes bien peu de temps, c’est chez toi.
Quand on entre dans ton cercle intime, on comprend à quel point ce qui te rend si dynamique est le maître mot de ta vie. T’es du genre à ne pas te vendre des qualités ou défauts que tu n’as pas, et à faire rapidement comprendre aux gens que lorsqu’on te prend, on achète le paquetage complet. Le bon et le mauvais. C’est sûrement pour ça que tes amis ne restent jamais trop longtemps avec toi. C’est fatigant à force.
La vérité, que seule ta famille est consciente, c’est ta peur de la vie. Du futur serait même plus juste. T’es du genre à craindre de ne pas en profiter assez ou ne pas laisser de trace derrière toi. La Mort est ta grande ennemie et c’est pour ça que tu t’arranges pour ne jamais avoir un moment de répit pour y penser. T’es pas malade, en bonne santé, mais tu sais que ton tour pourrait être demain ou dans 50 ans alors tu t’y prépares.
Pour tenir le coup, pour subir tout ce flux ininterrompu d’activités et de passe-temps, toi aussi tu as ton truc. Au contraire de tes patients qui s’éclatent la santé avec des drogues ou prennent des risques au jeu, toi tu te shoot aux stimulants. Café, excitant médicaux légaux, red-bull, tu abuses de tout ce qui te maintient en vie et alerte en ignorant complètement les signaux d’alerte de ton corps. Si t’es une bonne psy’ et que tes patients sont en confiance parce que tu fais attention à eux et que tu les respectes, la seule personne que tu ignores c’est ton corps. Tu veux vivre et pour ça, jamais tu ne plieras devant lui.
C’est comme ça qu’est venue la douleur. Celle que tu t’infliges. Parce que parfois ton corps ne suit plus, que tu es fatiguée, et qu'il te faut ta dose. C’est juste une dose supplémentaire d’adrénaline pour quand ton corps en manque. Et même si tu sais que comme le reste, t’en as besoin, tu ne fais que détourner les yeux de ça. Tu l’inscris à même ta chaire, aux endroits invisibles, comme un toxico se piquerait, toi tu coupes. Juste de quoi tenir, jusqu'à ce qu'autre chose te fasse oublier que ta vie peut finir.





Quand on cherche des traces de toi, on commence forcément en Russie. T’es née sur l’île de Sakhaline, dans la seconde ville la plus grosse du coin. T’es l’avant-dernière d’une grosse fratrie et ça t’as clairement forgé dans tes premières années. Sur le faire-part de naissance, c’est marqué que tu as 3 frères et une soeur. Après toi, un dernier garçon est né.

Il y a quelques photos d’écoles que l’on peut encore retrouver et on voit une gamine souriante et ouverte. Aux cheveux blonds clairs et aux yeux bleu passé, elle semble à l’aise parmi les autres. On ne trouve pas de photos de famille, parce que les tiens n’étaient pas vraiment comme ça. Chez vous, vous préfériez profiter de l’instant présent, des grands repas de famille et d’aller encourager les autres dans leurs activités.

La première information intéressante qui ressort pendant ton enfance, c’est un article d’un journal de presse locale, en ligne, qui parle d’un incident qui a eu lieu dans ta ville, impliquant ton plus vieux frère. Sergeï se droguait et tout le monde le savait à l’époque, sauf que personne n’a rien fait. Il a mal tourné. Il a blessé 5 personnes gravement en se vengeant d’un dealer qui l’avait arnaqué. Il est parti en prison parce qu’un homme ne s’en est pas tiré.
Pour toi, ça a été le déclic. Ta ville était rongée par l’alcool et la drogue, comme beaucoup d’endroits sans ressources en Russie. Alors t’as décidé que tu ne sombrerais jamais là-dedans et, mieux encore, t’as choisi de combattre ça.
T’as jamais bu à l'excès, tu as toujours su t’amuser sans ça. T’as jamais fumé non plus parce que tu voulais leur prouver que tu t’en sortirais sans ça. T’as clairement été une fille différente et les gens t’appréciaient pour ce fait. Parce que ton humour et ta joie de vivre étaient naturels et pas feints par l’alcool ou les drogues.

Tu es mentionnée, toi petite Kira, à partir du lycée parce que tu débutes à ce moment-là pas mal d’activités. Ça se passe quelques années après ce qui est arrivé à Sergeï, c’est l’époque où t’as tes grands-parents qui se rapprochent de la fin de leur route. Certains changent, d'autres disparaissent, voilà ce que le temps inflige. Ça te fait quelque chose. Tes plus grands frères ne sont plus à la maison, ta grande soeur se trouve un copain et toi tu comprends que tu avances inexorablement et ça te fait peur. Le futur t’inquiète, la mort te semble être un mystère incompréhensible.
Assez paradoxalement, ta famille semble le vivre bien mieux que toi et ça te permet de ne pas partir dans une mauvaise passe. À la place, c’est dans la découverte de nouvelles choses que tu rassures ton âme de rêveuse. Donc oui, tu commences la peinture, la danse moderne, le ju-jitsu et le saut en hauteur. Tu vas au cinéma à outrance. Tu lis tout ce qui te passe sous la main. C’est à ce moment-là que le bourgeon éclot. Si tu étais souriante avant et amusante, tu deviens radieuse. Plus rien ne t’arrête et là où tu passes, tu laisses une sacrée impression.

Quand le secondaire se finit, tu pars en programme type Erasmus pour tes études supérieures. Tu fais un an au Japon parce que c’est pas loin de chez toi et que tu baragouines déjà la langue vu que ton île est presque plus habitée par des Nippons que par des Russes. Pour tes études, cette année n’était pas obligatoire, mais pour toi c’est la découverte d’une nouvelle passion. La cérémonie du thé devient ton quart d’heure de silence et de douceur. C'est un moment intime qui te permet de faire abstraction de l'agitation que tu entretiens dans ton quotidien. La culture te donne une autre vision du chemin qui s’étire devant toi. Et même si tu repars au bout d’un an, t’es satisfaite du temps que tu y as passé.

Ensuite, c’est en Angleterre que tu viens poursuivre tes études pendant deux ans. Là, c’est le pied ! Tu découvres que l’apprentissage des langues est un domaine qui te plaît presque autant que la psycho’. Tu fais des rencontres, tu apprends à sortir faire la fête et à vivre à 150%. À l’époque, t’es avec un type qui est intermittent du spectacle et tu profites de chaque instant libre pour aller le voir jouer ou passer des auditions. C’est certainement l’une des meilleures époques de ta vie, parce qu’à cet instant, tu n’as aucune limite, aucune peur, aucun moment de questionnement. Tu vis si intensément que tu en es presque transcendée.

Et t’as justement 23 ans lorsque ton corps craque la première fois.
C’est pas très grave, juste un malaise qui met en évidence le manque de sommeil et les défenses immunitaires en bernes. On t’impose du repos et tu deviens folle chez toi. Puis rapidement, tu quittes ton homme parce que tu as l’impression que tu ne vas plus pouvoir avancer avec lui ou par jalousie, et tu te sens revivre. Alors tu comprends que c’est ça le deal. Ne jamais s’arrêter de construire, d’aller de l’avant.
Ce n’est pas une découverte qui t’inquiète à vrai dire. Dès l’instant où tu comprends comment ça fonctionne pour toi, tu remets le pied à l’étrier et tu remontes en selle. T’es littéralement comme un cowboy en plein rodéo, tomber ne te fait pas peur parce que tu sais retrouver l’équilibre après !

Tu quittes l’Angleterre pour les USA quelques mois plus tard. C’est là-bas que tu finis tes études et que tu trouves un premier job de psychiatre dans la spécialisation que tu as suivie. Les mutations d’hôpitaux sont ce qui t’arrive de mieux et te fait voyager à travers le pays. Tu recommences à aller à 100 à l’heure et tu recraques une autre fois. C’est plus grave cette fois-ci, mais avant d’accepter un quelconque repos, tu t’enfiles LE traitement et découvres la force des vitamines et autres stimulants du genre. Personne n’a le temps de dire ouf que tu es repartie de plus belle. Aux yeux de ton médecin, t’es une puissance de la nature. Tu t’en souviens, tu as ri aux éclats dans le cabinet avant de partir en courant pour ton cours de poterie du moment.

T’as 28 ans quand tu te retrouves à faire un malaise dans les toilettes de ton cabinet partagé avec deux autres collègues. T’as pas ton traitement habituel sur toi,  mais tu connais bien le fonctionnement des hormones sur le cerveau. Tu t’entailles pour activer l’adrénaline dans ton corps. C’est la première fois que ça t’effleure, mais ça devient vite un acquis parce que ça fonctionne franchement bien.

Charney arrive l’année suivante. T’arrives sur tes 30 ans quand tu rejoins l’hôpital principal de la ville. Ce qui t’a décidé à y aller, c’est tout ce que t’entends sur la ville. Personne ne veut rester là-bas parce que c’est trop dur. Toi c’est ce qui t’y attire. Le challenge n’est qu’un moyen de plus de ne pas t’arrêter après tout.

Petit plus :
Tu parles russe, anglais et japonais, même si t’as un peu perdu dans cette dernière langue parce que tu ne l’utilises plus depuis un moment.
Tu fais beaucoup d’activités, mais tu t’y tiens rarement longtemps. Les seules choses que tu as poursuivies sur le long terme c’est le ju-jitsu et la cérémonie du thé.
T’es des goûts affreux en termes de créations manuelles, tes peintures, poteries, dessins sont tous plus immondes les uns que les autres et ça t’a toujours profondément frustrée.
Tu consommes environs un café noir serré toutes les 2h. Tu as toujours des redbulls d’avance chez toi, et un paquet de pastilles effervescentes pour booster (c’est légal en pharmacie, tu ne fais rien de mal) dans tes poches.
Ton planning est si chargé que tu es presque systématiquement en retard… quand tu n’oublies pas tout bonnement ton rendez-vous.
T’es incapable de feindre quelque chose. Ta franchise dérange souvent, mais le fait que tu ne saches pas juste plier l’échine fait que tu peux très vite t’embrouiller avec quelqu’un.
Quand tu apprécies quelqu’un, t’es le genre d’amie à toujours répondre présent. Tu les traînes avec toi en soirée, tu ris, tu changes les idées avec un brin de succès.
Tu revois une fois par an ta famille, pour Noël, ton aîné est sorti de prison, mais a toujours refusé de te laisser l’aider. Franchement côté familial t’as peu de liens (sauf avec ta grande soeur qui a été longtemps ta plus grande amie), mais t’as une famille plutôt normale.
T’as eu la malchance de connaître les tempêtes d’hiver à Sakhaline et un typhon au Japon, maintenant tu flippes sévère quand il y a de l’orage.
Tu bois avec modération, tu ne fumes pas et ne te drogues pas parce que ton boulot te rappelle tous les jours comment ça se finit. Le plus drôle c’est même que tu n’as jamais essayé
.
Pseudo : Dune.
ge : 62 !
Découverte du forum : Krkrkr.
Encore un mot ? J’vous aime trop, ça me fait faire ce genre de bêtise.
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Daisuke Atsuji
Daisuke Atsuji
Daisuke Atsuji
∞ MESSAGES : 114
Daisuke Atsuji
Sam 8 Juin - 11:49
félicitations !validation.
Planquez tous le Death Note ! Pardon, j'apprécie particulièrement le prénom du personnage.

Bravo, tu as passé l'étape de la fiche de présentation, tu peux donc désormais te lancer dans l'aventure pour de bon. Pour ce faire, voici quelques liens qui te seront sans doute utiles pour la suite. Pense y, certaines étapes sont importantes.

_ recensement global ! pense à te recenser, il n'y a qu'un seul sujet pour tous les listings et ça évitera que quelqu'un ne te chippe ton feat par inadvertance.
_ recherche de rp ! pour te lancer dans le bain du rp si jamais tu n'as pas envie de faire du cas par cas dans les fiches de liens.
_ journaux ! pour poster ta fiche de liens et visiter celle des autres.
_ DISCORD ! pour rejoindre le reste de la communauté et papoter !
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