■ A la suite des différents meurtres en ville, @Daisuke Atsuji contacte Aellia pour avoir des infos. Il l'entraîne sur une scène de crime dans la foulée et ça tourne mal. Elle s’en sort couverte du sang d’une des victimes, un bras foulé et un oeil abimé.

Pour éviter les remarques, Aellia se terre chez elle le temps que son oeil se remettent mais avec la pression de devoir trouver des infos sur ces crimes avant de devoir re-croiser Daisuke.

■ Alors qu’elle est dans la rue, elle apprend qu’un nouveau meurtre vient de se passer. Décidée à en savoir plus, Aellia fonce sur les lieux du crime où elle croise le FBI et la calme @Adrenalyn P. Reed.

■ L’argent se fait à manquer du fait de son inactivité, Aellia reprend donc l’habitude de remplir quelques contrats intéressants. Elle y fait notamment la rencontre de @Fergus Cipher tout en ignorant à qui elle a affaire.

■ Toujours l’argent, toujours ce besoin d’en avoir pour survivre. Un nouveau receleur d’arme la contacte et lui propose un deal. D’abord blasée, Aellia va voir ses habitudes bousculée en y croisant @Giuseppe Ghiaccio.

La vie reprend son rythme, de l’argent de côté pour quelques temps, Aellia traîne plus qu’elle ne sort et dilapide son argent comme à son habitude.
C’est en pleine nuit que l’hôpital l’appelle car son père s’enfonce dans un coma encore plus profond. On lui prédit sa mort mais après de nombreuses heures, il repasse du bon côté de la ligne.

■ Sous le choc et à bout de nerf, la jeune femme se réfugie dans la cafétéria de l’hôpital pour y épancher sa peine et y croiser le visage familier de @Ginga Balaz, véritable ancre à la réalité.

Deux semaines à se terrer chez elle, le coeur et l’espoir en miette, voilà ce que l’état de son père à provoquer. Aellia a été beaucoup trop ébranlée par l’événement et a beaucoup de mal à s’en remettre.

■ Quand l’argent se fait à nouveau rare, elle accepte de voler des documents pour le compte d’une chirurgienne appartenant à la mafia. C’est sur les docks qu’elle recroise @Hyun-ah Kwon pour lui remettre les documents.